FICHE METIER BOSSONS FUTE N°174
1. INTITULÉS SYNONYMES OU APPARENTÉS
- Travailleur acrobatique, travailleur en accès difficile, alpiniste du bâtiment, Cordiste-nacelliste, Travailleur sur cordes
2. DÉFINITION
Le cordiste est un professionnel qualifié qui réalise des interventions en grande hauteur en utilisant des cordes pour se déplacer dans des lieux difficiles d’accès où ne peuvent pas être mis en oeuvre des moyens classiques d’élévation (nacelles, échafaudages).
3. FORMATION - QUALIFICATION
- Pour devenir cordiste, il existe deux formations reconnues:
- le CQP (Certificat de Qualification Professionnel) de cordiste qui se décompose en trois niveaux.
- Le niveau 1 est le niveau minimum requis pour entrer dans la profession,
- le niveau 2 pour devenir professionnel confirmé,
- et le niveau 3 pour être professionnel expert.
- Les conditions d’obtention peuvent être aménagées pour les professionnels des activités d’escalade, de spéléologie et d’alpinisme.
- le Certificat d'Agent Technique Cordiste (CATC).
- Il est conseillé de détenir un diplôme du secteur BTP avant de se spécialiser dans les travaux sur corde en passant le FCIL (Formation Complémentaire d’Initiative Locale) techniques de travaux de bâtiment sur Cordes. Cette formation est délivrée par le Lycée Auguste Perret de Poitiers (http://www.lycee-augusteperret.com/les-formations).
- L'emploi est également accessible avec qualification dans le métier exercé (nettoyage, électronique, BTP...) et un complément de compétence dans le domaine sportif (alpinisme...).
4. ACTIVITÉ PRINCIPALE
4.1. LIEUX D'ACTIVITÉ
- Ouvrage de grande hauteur du bâtiment, de l'industrie, des monuments historiques, des travaux publics
4.2. DESCRIPTION DE L'ACTIVITÉ
- Définition et mise en place d'une stratégie précise de secours en cas d'incident ou accident
- Mise en place des techniques d’assurage et de protection utilisées dans l’alpinisme et/ou la spéléologie:
- Équipement du site en points d'assurage et de progression
- Contrôle des ancrages
- Progression sur le site dans le respect des règles d'assurage jusqu'à la zone de travail par des points d'ancrage de type EN795 et en appliquant la redondance d'ancrage
- Installation des relais
- Installation du poste de travail avec deux cordes (corde dite de travail et corde de sécurité) et deux encrages par cordes
- Exécution des travaux proprement dits qui peuvent être :
- Nettoyage de vitres
- Soudage
- Peinture
- Restauration de monuments, immeubles
- Maçonnerie
- Construction de viaducs
- Installation d'éclairage
- Rénovation, déneigement de toitures
- Montage et maintenance de pylônes et de haubans
- Forage
- Manipulation d'explosifs
- Fixation de câbles électriques et d'antennes
- Descente d’eaux usées ou pluviales
- Élagage
- Confortement de falaise
- Maintenance industrielle
- Etc...
- Retrait après exécution des travaux
- Récupération des équipements utilisés
4.3. MACHINES ET OUTILS UTILISÉS
- Corde semi-statique permettant la montée et la descente du cordiste et corde semi-statique pour la sécurité avec un antichute suiveur
- Harnais de sécurité et longes
- Sellette servant de siège
- Mousquetons servant de lien entre l'homme et les matériels ou entre les différents accessoires
- Bloqueur avec ou sans poignée, coulissant librement sur la corde dans un sens et s'auto-bloquant dans le sens inverse
- Descendeur avec système antipanique servant à effectuer des descentes pour l'accès au poste de travail
- Anneaux de sangle reliant un point d'ancrage au mousqueton dans lequel passe la corde
- Casque de chantier
- Ancrages : c'est l'ensemble du dispositif de fixation d'une corde sur la structure d'accueil et des liens intermédiaires entre celui-ci et la corde proprement dite ; on distingue les ancrages terminaux et les ancrages intermédiaires utilisés en particulier dans le cas de lignes de vie. Les ancrages doivent correspondre à la normes EN 792 2011
- Sac de transport
- Poignée d’ascension
- Antichute mobile sur corde
- Pédale d’appui
- Sangles anneaux
- Longe de progression
- Cordelette
- Protèges cordes
- Eléments de fixation : une note calcul doit être réalisée par le chef d’entreprise en cas d’ancrage " dit naturel ou stucturel ")
- éléments naturels constitués par la structure elle-même : charpente métallique, en bois ou en béton, protubérance de l'immeuble, rocher, tronc d'arbre...
- éléments artificiels : pitons, chevilles à expansion, scellements chimiques
- Machines et outils nécessaires à la réalisation des travaux : outillage portatif électrique
4.4. PRODUITS ET MATÉRIAUX UTILISÉS
- Variables selon la nature du chantier
4.5. PUBLIC ET RELATIONS SOCIALES
- Travail d’équipe avec un binôme au minimum
4.6. EXIGENCES PARTICULIÉRES
- Avoir un état de santé compatible avec les exigences du poste
- Détenir une compétence professionnelle autre que celle de cordiste
- Être capable de répondre à des problématiques de sécurité liées à la spécificité du lieu d’intervention
- Avoir le sens de la sécurité pour soi et pour autrui
- Supporter les contraintes liées au travail en sécurité
- Être capable de porter secours en cas d’urgence. Le cordiste doit être formé SST (Sauveteur Secouriste du Travail)
4.7. TRAVAILLEURS HANDICAPÉS
- Sous réserve d’en avoir les capacités professionnelles l’emploi peut être accessible à des travailleurs présentant certains types de handicaps moyennant des adaptations à envisager au cas par cas
- Emploi peu compatible avec les maladies chroniques, les troubles ostéoarticulaires, les troubles de la personnalité
- Activité incompatible pour les personnes souffrant ou ayant des sensations de vertiges
5. ACTIVITES POUVANT ETRE ASSOCIÉES
- Exercice d'un autre métier car l'activité peut être intermittente.
- BTP, Industrie, Construction, Maintenance, Nettoyage,...
6. DANGERS
- Chutes de hauteur
- Blessures des mains
- Lombalgies d'effort
- Projections de corps étrangers dans les yeux
- Écrasement
- Malaises (hypoglycémie, déshydratation)
6.2. AMBIANCES ET CONTRAINTES PHYSIQUES
- Travail en extérieur avec exposition aux UV et aux intempéries (pluie, vent, foudre, chaleur, froid)
- Humidité
- Poussières, notamment de roches
- Vibrations des machines outils portatives
- Fumées de soudage
- Bruit sur certains chantiers dü à l'utilisation de meuleuse, marteau-piqueur, perceuse/visseuse, tronçonneuse, disqueuse
- Eclairage parfois artificiel (projecteurs) en cas de travail dans des lieux confinés
- Travail en hauteur (parfois à plus de 300 mètres)
- Charge physique élevée
- Port et manipulation de charges
- Contraintes posturales
- Gestes répétitifs
- Rayonnement ultraviolet (UV) solaire pouvant être responsable de cancers de la peau
- Ports d’EPI spécifiques: Appareil respiratoire isolant, combinaison,... (travaux en milieu amiante, plomb, exposition aux rayons ionisants,...)
6.3. AGENTS CHIMIQUES
- Selon les chantiers : peintures, solvants, colles, ciment, produits d'entretien...
6.4. AGENTS BIOLOGIQUES
- Surinfections des plaies, tétanos
6.5. CONTRAINTES ORGANISATIONNELLES ET RELATIONNELLES
- Concentration importante surtout liée à la sécurité car les erreurs peuvent avoir des conséquences graves sur la sécurité des personnes
- Travail souvent intérimaire ou en CDD
- Éloignement du domicile
- Employeurs multiples avec la nécessité d'une compétence professionnelle supplémentaire (nettoyage, mécanique, etc.)
7. RISQUES POUR LA SANTE
Variables selon la nature des chantiers avec notamment :
- Tableau n°57 RG : Affections périarticulaires provoquées par certains gestes et postures de travail
- Tableau n°69 RG : Affections provoquées par les vibrations et chocs transmis par certaines machines-outils, outils et objets et par les chocs itératifs du talon de la main sur des éléments fixes
- Tableau n°98 RG : Affections chroniques du rachis lombaire provoquées par la manutention manuelle de charges lourdes
7.2. AUTRES MALADIES LIÉES A L'ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE
- En fonction des risques associés
8.1. ORGANISATION
- Cas général
- La visite médicale d’embauche
- Elle est remplacée par une visite d’information et de prévention assurée par un professionnel de santé
- Elle doit être effectuée dans les 3 mois qui suivent l’embauche
- La visite d’information donne lieu à la délivrance d’une attestation de suivi remise au salarié et à l’employeur
- La VIP reste valable en cas de changement d’entreprise si l’emploi occupé présente des risques équivalents.
- Visites périodiques
- La périodicité des visites d’information et de prévention ne doit pas excéder 5 ans
- La périodicité des visites d’information et de prévention peut être modulée par le médecin
- Autres visites
- Des visites médicales à la demande du médecin, du salarié ou de l'employeur sont possibles
- Des visites médicales de pré-reprise sont prévues en cas d'arrêt de plus de 3 mois
- Des visites médicales de reprise sont obligatoires
- dans les 8 jours qui suivent la reprise effective du travail
- après un congé de maternité ; une absence pour cause de maladie professionnelle ; absence d'au moins trente jours pour cause d'accident du travail, de maladie ou d'accident non professionnel.
- Des demandes de visite sont nécessaires
- pour tout arrêt de travail d'une durée inférieure à trente jours pour cause d'accident du travail
- afin d'apprécier l'opportunité d'un nouvel examen médical et, avec l'équipe pluridisciplinaire, de préconiser des mesures de prévention des risques professionnels.
- Cas particuliers
- Une visite médicale préalable à l’affectation sur le poste est obligatoire
- pour les salariés exposés aux risques de chute de hauteur lors des opérations de montage et de démontage d'échafaudages.
- Pour les travailleurs sur des postes spécifiques à la demande de l’employeur
- La visite de suivi individuel renforcé (VSIR) donne lieu à la délivrance d’un avis d’aptitude ou d’inaptitude remise au salarié et à l’employeur
- La périodicité des visites de suivi individuel renforcé ne doit pas excéder 4 ans avec une entretien infirmier intermédiaire qui doit être réalisée dans les 2 ans
8.2. CONTENU
- On recherchera à l'interrogatoire plus particulièrement certains antécédents :
- Antécédents neuro-psychiatriques : épilepsie, vertiges, pertes de connaissances, troubles psychiatriques
- Antécédents cardiovasculaires : hypertension artérielle élevée non traitée, troubles du rythme ou de la conduction, angor
- Antécédents pulmonaires : asthme, dyspnée d'effort
- Antécédents endocriniens : diabète insulino-dépendant, hypoglycémie
- Antécédents rhumatologiques : lombo-sciatique, douleurs articulaires
- Antécédents ORL : troubles de l'audition
- Mode de vie : pratique d'un sport, tabagisme, prise régulière de boissons alcoolisées, consommation de drogues, prise de médicaments pouvant altérer la vigilance (antalgiques, sédatifs, anxiolytiques...)
- L'examen clinique portera notamment sur :
- Examen cardiovasculaire : auscultation cardiaque, TA, palpation des pouls périphériques, test de Ruffier-Dickson
- Examen ostéoarticulaire, en particulier du rachis
- Examen neurologique : recherche de troubles de l'équilibre, d'un déficit moteur
- Examen de la vue, examen de l'audition
- Examen des urines : recherche d'une glycosurie, d'une hématurie, d'une protéinurie...
- Examens complémentaires
- Selon la clinique, pour la détermination de l'aptitude
- A discuter selon les cas :
- Épreuves fonctionnelles respiratoires (EFR)
- ECG, test d'effort, échographie cardiaque
- Radiographie pulmonaire
- NFS avec dosage de l'hémoglobine (facteur important de l'activité musculaire)
- Recherche des drogues dans les fluides biologiques
- Vaccinations
- DTPolio conseillé tous les 20 ans entre 25 et 65 ans
- Suivi post professionnel
- Néant sauf risques associés particuliers
- Dossier médical
- L’article 96 du code de déontologie médicale dispose que : « Sous réserve des dispositions applicables aux établissements de santé, les dossiers médicaux sont conservés sous la responsabilité du médecin qui les a établis. » (art R 4127-96 du Code de Santé Publique)
- Cas particuliers du délai de conservation du dossier médical :
- Exposition aux agents biologiques pathogènes: 10 ans à compter de la cessation de l’exposition (article R 4426-9 du code du travail)
- Milieu hyperbare : 20 ans (article 35 du décret n°90-277 du 28 mars 1990 modifié)
- Agents chimiques dangereux et agents chimiques dangereux cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction : 50 ans à compter de la cessation de l’exposition (article R 4412-55 du code du travail)
- Rayonnements ionisants : 50 ans à compter de la cessation de l’exposition (article R 4451-90 du code du travail)
- Amiante : 50 ans à compter de la cessation de l’exposition (article D 4412-95 du code du travail)
9. NUISANCES POUR L'ENVIRONNEMENT EXTÉRIEUR
- Les nuisances pour l’environnement extérieur peuvent essentiellement être produites par l’activité complémentaire du cordiste (risque de pollution par utilisation de produits chimiques, nuisances sonores par utilisation d’outils, etc.)
- En cas de non balisage de la zone de travail un accident pourrait survenir par chute d'objet
10. ACTIONS PRÉVENTIVES
- En fonction des éléments recueillis un dossier de pénibilité pourra être envisagé (manutention, port de charges, gestes répétitifs, agents chimiques dangereux, exposition aux intempéries, vibrations, bruit ...)
10.1. INDICATEURS D'AMBIANCE ET MÉTROLOGIE
- Manutention : analyse de la manutention manuelle au poste de travail
- Mesure de la charge physique au poste de travail : cardiofréquencemètre...
- Autres mesures en fonction du type de chantier (qualité de l'air, bruit ...)
10.2. PRÉVENTION COLLECTIVE
10.2.0. L'employeur doit évaluer les risques et privilégier la prévention collective, chaque fois qu'elle est possible.
10.2.1. prévention technique collective
- Utilisation des cordes seulement en cas d'impossibilité technique de recourir à un équipement collectif ou lorsque l'utilisation d'un tel équipement exposerait à un risque plus grand
- Système comportant au moins deux cordes ancrées séparément, l'une constituant un moyen d'accès de descente et de soutien (corde de travail) et l'autre un moyen de secours (corde de sécurité)
- Port d'un harnais de sécurité antichute relié à la corde de sécurité et à la corde de travail
- Outils et autres accessoires reliés au harnais ou au siège ou attachés par un autre moyen approprié
- Utilisation de matériel aux normes et à jour de ses vérifications réglementaires
- Balisage de la zone d'intervention au sol
- Trousse de premiers secours
10.2.2. Prévention organisationnelle
- Plan général simplifié de coordination en matière de sécurité et de protection pour les travaux exposant à des risques de chute de hauteur de plus de 3 mètres
- Interdiction de réaliser des travaux en hauteur si les conditions météorologiques ou liées à l'environnement peuvent compromettre la sécurité et la santé des travailleurs
- Contrôles des ancrages a leur mise en service et un PV de contrôle doit être émis
- Travail correctement programmé et supervisé, de sorte qu'un secours puisse être immédiatement porté au travailleur en cas d'urgence
- Travail en binôme
- Respect de pauses régulières
10.3. PRÉVENTION INDIVIDUELLE
- Système d'arrêt de chute ne permettant pas une chute libre de plus d'un mètre
- Présence d'une tierce personne lorsqu'il est fait usage d'un tel équipement de protection individuelle
- Harnais anti-chute, longes, cordes
- Equipements de protection conformes aux normes
- Selon les risques associés : casque, lunettes, écran facial, coquille antibruit
10.4. FORMATION - INFORMATION - SENSIBILISATION
- Formation au travail avec des cordes
- Formation aux règles de sécurité
- Formation de sauveteur secouriste du travail (SST)
- Règles hygiéno-diététiques (alcool, drogues...)
- Activité sportive régulière pour avoir une bonne condition physique
11. RÉGLEMENTATION
11.1. TEXTES LEGISLATIFS ET RÉGLEMENTAIRES
- Articles R4323-64 àt R4323-68 du Code du travail : Travail avec des cordes
- Articles R4323-89 et R4323-90 du Code du travail : Travail avec des cordes
- Article L4121-1 du Code du travail : L'employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs.
- Articles D4153-48 et D4153-36 du Code du travail : Travaux interdits, sauf dérogation, aux jeunes travailleurs de moins de dix-huit ans
- Décret n° 2004-924 du 1er septembre 2004 relatif à l'utilisation des équipements de travail mis à disposition pour des travaux temporaires en hauteur et modifiant le code du travail (deuxième partie : Décrets en Conseil d'Etat) et le décret n° 65-48 du 8 janvier 1965.
- Arrêté du 25 février 2003 pris pour l'application de l'article L. 235-6 du code du travail fixant une liste de travaux comportant des risques particuliers pour lesquels un plan général simplifié de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé est requis
- Décret n°65-48 du 8 janvier 1965 modifié. Décret portant règlement d'administration publique pour l'exécution des dispositions du livre II du Code du travail (titre II : Hygiène et sécurité des travailleurs) en ce qui concerne les mesures particulières de protection et de salubrité applicables aux établissements dont le personnel exécute des travaux du bâtiment, des travaux publics et tous autres travaux concernant les immeubles
11.2. RECOMMANDATIONS
RECOMMANDATIONS DE LA CNAMTS
- R290 Montage-levage des constructions métalliques. Prévention des accidents
- R291 Chutes de hauteur. Filets montés sur consoles
- R356 Travaux de montage de charpentes lourdes métalliques
- R386 Utilisation des plates-formes élévatrices mobiles de personnes (PEMP)
- R 416 Travail isolé et dangereux
- R 430 Dispositifs d’ancrage pour les équipements de protection individuelle contre les chutes de hauteur
- R431 utilisation des systèmes d’arrêt des chutes
- R446 Mise en oeuvre des filets de sécurité en grande nappes
11.3. NORMES
- NF EN ISO 11681-2/A1. Février 2012. Matériel forestier - Scies à chaîne portatives - Exigences de sécurité et essais - Partie 2 : scies à chaîne pour l'élagage des arbres. Les procédures de travail en hauteur sont développées dans une annexe.
- NF EN 353-1. Septembre 2002. Équipement de protection individuelle contre les chutes de hauteur - Partie 1 : antichutes mobiles incluant un support d'assurage rigide
- NF EN 353-2. Septembre 2002. Équipement de protection individuelle contre les chutes de hauteur - Partie 2 : antichutes mobiles incluant un support d'assurage flexible
- NF EN 354. Octobre 2010. Équipement de protection individuelle contre les chutes de hauteur - Longes
- NF EN 355. Septembre 2002. Équipement de protection individuelle contre les chutes de hauteur - Absorbeurs d'énergie
- NF EN 358. Mars 2000. Équipement de protection individuelle de maintien au travail et de prévention des chutes de hauteur - Ceintures de maintien au travail et de retenue et longes de maintien au travail
- NF EN 360. Septembre 2002. Équipement de protection individuelle contre les chutes de hauteur - Antichutes à rappel automatique
- NF EN 361. Septembre 2002. Équipement de protection individuelle contre les chutes de hauteur - Harnais d'antichute
- NF EN 362. Février 2005. Équipement de protection individuelle contre les chutes de hauteur - Connecteurs
- NF EN 363. Mars 2008. Équipement de protection individuelle contre les chutes de hauteur - Systèmes d'arrêt des chutes
- NF EN 365. Décembre 2004.Équipements de protection individuelle contre les chutes de hauteur - Exigences générales pour le mode d'emploi, l'entretien, l'examen périodique, la réparation, le marquage et l'emballage
- NF EN 795. Mars 2019. Protection contre les chutes de hauteur - Dispositifs d'ancrage - Exigences et essais.
- NF EN 813. Novembre 2008. Équipement de protection individuelle pour la prévention des chutes de hauteur - Ceintures à cuissardes.
- NF EN 1263-2. Février 2015. Filets de sécurité - Partie 2 : exigences de sécurité concernant les limites de montage
- NF EN 1868. Septembre 1997. Équipement de protection individuelle contre les chutes de hauteur - Liste des termes équivalents.
- NF EN 1891. Août 1998. Équipement de protection individuelle pour la prévention des chutes de hauteur - Cordes tressées gainées à faible coefficient d'allongement
11.4. CONVENTIONS COLLECTIVES
- Convention collective de la branche professionnelle dans laquelle le salarié travaille.
12. BIBLIOGRAPHIE
- ROME Les fiches métiers. I1501 Intervention en grande hauteur. (2009)
- Témoignage d’un cordiste, mars 2016 : "Casser du sucre à la pioche"
- Conseils Express. Fiche n° 7 Le travail en hauteur. (fichier pdf 68 Ko). (AST67)
- Hauteur et sécurité - Le petit mémento du cordiste (2014) - Sakti CANO et Antoine HEIL (Payant)
- Les cordistes. Mémoire présenté en vue de l’obtention du Diplôme d’études spécialisées en Médecine du Travail par le Docteur Bernard Rey. (2004) ((fichier pdf 318 Ko)
- Travailler haut : apte ou inapte ? Le Concours Médical 11-12-99
13. ADRESSES UTILES
REDACTION
- AUTEURS : Bernard Rey (médecin du travail) (AMETIF) (95), Nicole Motsch (médecin du travail) (AMETIF) (95)
- DATE DE CREATION : Avril 2005
- RELECTEURS :
- ESQESE (31) 2017 Etudiantes en Master 1A Manager QSE : Graziella Auquiert ; Émilie Cabanis ; Christine Lordet
- Lionel Ortunez (Formateur et auditeur travail en hauteur)(SCAF)(78) This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.
- DERNIERE MISE A JOUR : Septembre 2017
Pour toute remarque et proposition de corrections, joindre : This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.